Groupe : Créature - Panthéon Vaudou Métier : Cheffe de l'entreprise cosmétique Antipodes - Productrice de films - Devineresse - Potionneuse - Prêtresse vaudoue Pouvoirs / atouts : Contrôle des morts - Influence sur l'humanité - Terreur au toucher Fidèle : Fidèle au panthéon Vaudou, dont elle est la plus fidèle servante
Béni par : Le panthéon vaudou, a reçu l'éternelle jeunesse (Immortelle de 35 ans) Warning : Langage cru / Violence physique / Sexe / Violences sexuelles Messages : 120 Age : 35 ans Célébrité : Tessa Thompson
Sujet: This is how villains are made (PV : Romain) Dim 26 Mai - 10:51
Time to put my medal on, whose blood to spill ? I don't know, whose side I'm on ? Two armies are coming at me, their flags and weapons look the same. One tells the truth, the other's lying and they're both calling my name. This is how villains are made ... This is how villains are made ... Ooh, ooh ... No one ever starts that way, but this is how villains are madee. -- feat. @Romain Papadopoulos
L'on pense à tord ou à raison que la vie est faite pour ceux vivant d'amour, d'eau fraîche, sans que personne n'ait à se soucier des traits avec lesquels ils ont un jour été faits. Souvent à tord, si je puis me permettre. Car l'Homme, dans toute son hypocrite mansuétude ne se contente guère de ce qui est fade. Il envie, il désire plus que tout un chacun, quand quelque chose ne lui est pas donné. Et cette chose sur laquelle il base cette soi disant divinité devant devenir l'immortalité de sa génération est la beauté. Il suffit de voir avec quelle joie, quelle allégresse, depuis l'apparition des réseaux sociaux et l'évolution des techniques photographiques allant des filtres aux retouches factices, chaque humain se complait dans cette version soi disant parfaite de sa personne, en pensant qu'avec ces petits moyens dits technologiques plus que techniques, il pourra se voir comme aucun autre. Jusqu'à ce que le couperet tombe, en la personne qui passera à côté d'eux dans la rue, ou apparaîtra sur les couvertures de magasine comme la personne étant au dessus de leur soi disant divinité.
Et c'est là où tout se joue. Cette envie gonfle, enfle, jusqu'à devenir l'abcès d'anxiété qui chez certains devient infection, car ils n'ont guère atteint la perfection de ce jeune premier aux traits aquilins, à la taille fine, ou à cette jeune fille de dont les gènes lui ont tout de même donné au delà d'un bon pécule, la possibilité de ne pas ressembler à une boîte de lardons bradée en raison d'une date de péremption proche. C'est à ce moment là que tel un fruit bien mûr, ils se mettent en quête de ce qui pourra combler leur vide, là où ils sortent tout leur jus. C'est donc là que j'interviens dans toute ma complaisance et mon expertise pour leur offrir la possibilité réelle d'atteindre cette perfection manquant à leur vie. Dans l'entretien même de peaux ou cheveux dont ils n'ont guère reconnu l'existence et l'importance pendant bien deux voir trois décennies.
Heureusement pour eux, j'ai des compétences en la matière pour rattraper les dits dégâts de leurs ingérences passées. Je suis Marie Laveau, après tout. Pas une vendeuse de vent comme le sont des Guerlain ou des Saint Laurent. Je vends au delà du naturel, du concret et de l'efficacité. Des produits réellement testés avec les accords et accréditations nécessaires au bien fondé des actions et exigences de ma marque. Et c'est sans nul doute en cela que nombre de jeunes âmes se tournent vers mes délices plutôt que les leurs ... qui soi dit en passant, vendent plus leur marque qu'une relative efficacité. En cela, j'ai aussi fait en sorte de renforcer autant mon influence auprès des jeunes générations via leurs réseaux sociaux. Mais aussi en ayant l'intelligence de recruter ceux qu'ils aiment tant appeler idoles, ou même égéries ... si ce n'est pour certains fanatiques, messies. Mes équipes marketing avaient ainsi offert une place de choix à Romain Papadopoulos, dont le passif lié à ce malheureux coma, ainsi que ces pratiques quand aux prières ferventes et puissantes concernant Apollon ont fini par éveiller mon intérêt. L'on ne va guère se le cacher, je continue mes recherches quand aux déités de ce monde et me complait à récolter ces informations pour les monnayer, faire pression dans ces ombres où la majorité n'a guère l'impudence ou le cran de s'enfoncer.
Aujourd'hui donc, en sachant pertinemment son passage dans nos studios photos pour l'un de nos derniers produits validé par les instances françaises, j'entre donc dans le studio en étant suivi par mon assistante, mon chargé de communication ainsi que mes gardes du corps. Ma présence n'était guère attendue par le personnel en présence, qui semble soudainement pris de court alors que nous avançons dans la grande salle. Mes lunettes de soleil toujours sur le nez, j'observe donc les installations, la lumière posée par le photographe et rendu actuel des dites photos. Cela rend bien, il faut l'avouer, malgré la nature du dit produit.
« Messieurs dames, quel plaisir d'enfin vous rencontrer. »
Dis-je, en affichant un sourire certes poli, mais à l'image du contentement glissant sur mes traits. Après tout, cette campagne publicitaire ainsi que les premières démos de vidéos promotionnelles pour les réseaux sociaux me sont parvenues en amont de ma dernière réunion avec le personne. Mes pulpes de doigts se joignent, tandis que le personnel, semblant en émoi devant la présence d'une star telle que ce cher Romain. Voilà qui est intéressant. L'on me confond en excuses, courbettes et une relative satisfaction quand à ma présence, chose à laquelle je ne prends guère ombrage, chose que je souligne rapidement auprès de tout le monde.
« Ne vous excusez guère d'être absorbés ... voir dévoués à votre travail. Je trouve cela on ne peut plus satisfaisant et espère que ce zèle offrira de meilleurs rendus que les actuels. »
Je me tourne vers ce cher Papadopoulos, dont la ligne et le profil m'apparaissent sous d'autres traits que ceux inscrits sur papier glacé. Effectivement, il n'est pas en reste quand à sa réputation. Je comprends en partie pourquoi il est l'objet de tant de ferveur pour ces fans s'appelant de manière si ... mignonne ? "Pappadicts".
« Mr Papadopoulos, enchantée, Marie Laveau, directrice exécutive d'Antipodes. On se rencontre enfin. En chair et en os. »
C'est une petite boutade de mon cru, sachant ma vraie nature. J'avance donc vers lui en me enlevant enfin de sur mon nez ces lunettes de soleil, qui trouvent une bien juste place dans leur coffret, et le sac pendant à mon épaule. J'étends la main pour lui offrir une poigne ferme en guise de serré de main.
« Je m'excuse de ne guère avoir eu le temps de m'entretenir autrement que lors de rares entretiens par caméras interposées, mais nos plannings pour une rencontre en face à face n'avaient jusque là pas permis une telle possibilité. J'espère qu'il vous est toujours agréable de travailler avec nos collaborateurs. »
Bien que j'ai appris par mégarde le fait qu'il puisse nous quitter pour une de ces autres boîtes sortant le chèque pour avoir un poids décisionnel quand à l'exclusivité. Et je serai curieuse de connaître qui, quoi, essaie de le subtiliser à Antipodes, en plus d'affirmer si oui ou non ces "rumeurs" concernant sa personne sont fondées.
code & icons by lilie
I Spit on your Grave
"Bold of you to think that I won't eat you alive. Kinda creepy, kinda ugly, alligator but I'm fluffy like a bunny. I see the big picture and no you don't fit, sir. "I haven't done shit, sir!". You think you're too slick, I understand, you talkin' big shit, I'm such a fan, well I got a big dick and dirty mouth. Spit your blood into my cup and then I'll gulp you down. So when you see my face remember to run. And when you hear my name go load up your gun you should be scared of me, son." (skins) endlesslove.
Romain Papadopoulos
Le Brillant
Groupe : Divin - Apollon, Dieu de la Lumière et du Soleil, de la Médecine, de l'Archerie et des Arts - Panthéon Gréco-romain Métier : Chanteur, modèle, acteur. Pouvoirs / atouts : Il est sympa ce gars là - J'en ai des frissons - Tout ce qui brille - Toi tu vis, toi tu meurs - Je pète le feu Fidèle : Warning : J'accepte sans problème : langage cru & violences physiques. À discuter avant : sexualité & violences sexuelles. Messages : 251 Age : 25 ans en apparence, plusieurs millénaires en réalité. Célébrité : Timothée Chalamet
Sujet: Re: This is how villains are made (PV : Romain) Jeu 6 Juin - 11:44
This is how villains are made
The world is changed by your example, not by your opinion. ≣ by Paulo Coelho
Travailler en collaboration avec des marques est une partie non négligeable de mon travail. À dire vrai, parfois j'ai presque l'impression d'être plus un argument marketing qu'un chanteur. Et si c'est bien sûr très flatteur d'être considéré par les cols blancs comme un potentiel booster de ventes rien que par mon image, j'ai parfois l'impression de perdre là l'authenticité de l'artiste. On s'intéresse plus à mon apparence que à ce que j'ai à dire, à exprimer, ce que je peux créer. Finalement, l'histoire de mon existence. Après tout, on ne désigne pas comme Apollon un artiste doué, mais un bel homme. Il m'a fallu du temps pour accepter que je n'avais pas à résumer mon essence à cette superficialité, mais il est bien plus complexe de faire entendre aux humains que je suis beaucoup plus que cela, après des millénaires de louanges sur ma beauté et de moqueries sur mon esprit. Heureusement que ma tante Hestia est là pour me rappeler qu'au delà d'un beau minois, je reste le poète, le musicien, le guérisseur, le vengeur et le devin. Bon, j'étais, pour le dernier point. J'imagine que la chute de Delphes a définitivement entrainé la disparition de l'esprit de la pythie, et avec lui ma connexion aux oracles.
Je n'avais tout de même donc pas vraiment le choix que de me prêter à l'exercice du mannequinat, égérie en vogue pour marques voulant rajeunir leurs clientèles. Aujourd'hui, je posais pour Antipode, un contrat que j'honorais depuis quelques mois déjà. Je mentirais si je disais que le produit qu'on me fait vendre ne me fais pas rouler des yeux. "Rajeunir le bulbe pileux" raconte la fiche produit qu'on m'a fourni. Je vous remercie, mon bulbe pileux se porte très bien, aucune ride à l'horizon, et par ma bénédiction, il en sera ainsi tant que j'occuperai ce corps. Mais puisqu'il faut faire croire à mes fans que c'est grâce à quelques gouttes de plantes que ma crinière est ce qu'elle est ... Au moins ce produit présente l'avantage de ne pas faire l'apologie d'une quelconque arnaque quantique ou que sais-je encore. C'est un des points qui m'a fait accepter le contrat, dans sa composition tout du moins, Antipode ne prend pas ses consommateurs pour des pigeons. Il faut comprendre que si un scandale éclate dans une entreprise à laquelle j'ai lié mon image, je suis impliqué, que je le veuille ou non, alors je me dois de faire des choix consciencieux. Celui-ci n'avait été prit qu'à l'issu de plusieurs visio-conférences avec la créatrice même de la marque, Marie Laveau.
Je posais, suivant les indications du photographe et de l'équipe créative, quand soudain un branle bas de combat semble agiter le plateau. Je vois cette femme arriver, et le première chose qui me marque, c'est sa prestance. Telle une Meryl Streep portant du Prada, elle impose le respect par sa simple présence et ses commentaires sont autant de petites claques précises derrière la tête de ses employés, qui n'ont visiblement pas l'habitude de la voir autrement que sur les couvertures de Forbes et du Times. Il devient vite évident qu'il ne s'agit pas juste d'une visite de courtoisie quand elle se dirige sans une hésitation dans ma direction. Je suis saisi par tout ce qu'elle incarne à la perfection : le succès, la confiance en soi, la beauté ... Cette femme est dangereuse, bien des hommes doivent se sentir le besoin se prouver leur virilité en sa présence. D'aucun dirait castratrice. Je ne suis pas de ceux là. Je n'ai jamais considéré les femmes comme devant se soumettre à l'homme. Chaque artiste sait qu'il n'est rien sans ses muses. Et j'ai toute ma vie partagé mon temps avec mon âme sœur, cette jumelle qui aurait tué froidement n'importe quel "mâle alpha" tentant de la dominer. Quatre millénaires auprès d'Artémis vous apprennent à respecter les femmes. Elle ne me fait donc pas peur, mais oui, elle m'impressionne.
Madame Laveau, c'est un plaisir de vous rencontrer par delà un écran. je réponds avec le sourire, ne laissant pas paraître ce qu'elle me fait ressentir, tout en serrant la main qu'elle me tend, appréciant une poigne franche, ce qui n'est pas surprenant de la part d'une femme de cette envergure. Mais à travers ce contact, je perçois ... autre chose. Une aura particulière, que je ne parviens pas à réellement comprendre. Il semblerait en tout cas, que dame Laveau ne soit pas une humaine comme les autres, voir ne soit pas une humaine tout court. Quand à en savoir plus, ça m'est bien impossible. Voilà qui est intriguant. Ne vous inquiétez pas, tout est parfait, comme d'habitude. À peine ai-je le temps de répondre qu'un petit bonhomme au teint rougeot et la calvitie grisonnante fait son apparition à côté de moi. Quiconque ne l'a jamais rencontré le reconnaitrai à sa moustache légendaire, célèbre dans le milieu. Il ne s'agit ni plus ni moins de Bob, mon manager, qui, comme à son habitude, vient évaluer si il va avoir besoin de congédier avec plus ou moins de véhémence la personne qui m'interromps dans mon travail.
Et qu'est-ce qui nous vaut la visite surprise de la grande directrice durant un shooting ? Vous aviez peur que ses cheveux ne paraissent pas assez jeunes ? Il grommèle, ne prenant pas la peine de saluer notre visiteuse. Je suis certain que ça n'a rien à voir avec la jeunesse de mes cheveux Bob. fis-je en rigolant, glissant un regard qui se veut complice à la CEO, l'air de dire "n'en voulez pas à Bob, il est un peu brut de décoffrage, mais c'est un bon gars." Ce qui, en soit, n'est pas faux. Il n'est probablement pas l'humain le plus charismatique, sympathique ou distingué, mais dans son domaine, il est incroyablement compétent, et c'est bien pour ça que j'ai tenu à le garder aux côtés de Romain pour gérer sa carrière. Après tout, sans lui, il n'aurait jamais joué mon rôle dans sa série, et je ne me serais peut-être pas intéressé à lui au moment de m'incarner. En quelque sorte, Romain lui doit d'être toujours en vie, ou en tout cas de ne pas être un légume impotent. C'est le moins que je puisse faire de le récompenser en le gardant auprès de moi, aussi désagréable soit-il. Et puis de cette façon, il met d'autant plus en exergue mon côté solaire, bien que je n'ai pas forcément besoin de lui pour ça.
Pouvoir 1 passif : résultat 3 L'interlocuteur est fasciné par le charisme d'Apollon. Il cherchera activement ce qu'il peut faire pour obtenir ses faveurs.
phoebus apollo
I guess I never really faced my fears before, so stay with me, because my body's on the line now. Please don't let them take me sure there's nothing left to try. I can feel the light shine on my face. Did I disappoint you ? Will they still let me over ? If I cross the line ?
Marie Laveau
Créature vaudou
Groupe : Créature - Panthéon Vaudou Métier : Cheffe de l'entreprise cosmétique Antipodes - Productrice de films - Devineresse - Potionneuse - Prêtresse vaudoue Pouvoirs / atouts : Contrôle des morts - Influence sur l'humanité - Terreur au toucher Fidèle : Fidèle au panthéon Vaudou, dont elle est la plus fidèle servante
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Sujet: Re: This is how villains are made (PV : Romain) Sam 13 Juil - 15:22
Time to put my medal on, whose blood to spill ? I don't know, whose side I'm on ? Two armies are coming at me, their flags and weapons look the same. One tells the truth, the other's lying and they're both calling my name. This is how villains are made ... This is how villains are made ... Ooh, ooh ... No one ever starts that way, but this is how villains are madee. -- feat. @Romain Papadopoulos
Je dois avouer que voir cet adonis a une saveur bien plus attirante que je ne l'aurai crue. Sans doute l'écran ne lui rendait guère grâce, ou alors ma tête était focalisée sur d'autres buts et plans que je montais à l'époque de son recrutement. En cet instant, je comprends aisément pourquoi ce magnétisme dont on m'a chanté les louanges a quelque effet. Je me sens moi-même attirée, inexorablement, et ce malgré mon grand professionnalisme. Je vois cependant que les goules présentes dans les rangs des employés ne sont pas aussi affecté que je puisse l'être, ou les humains présents. Ce frisson, aussi plaisant que désagréable agit, poison doux, délicieux, m'assoiffant d'envie, de découvertes et explorations que pourtant je sais habituellement réprimer.
« J'espère bien ... il serait ennuyeux que vous ne receviez guère les traitements qui vous sont dus. D'autant plus aux vues des ventes qui, sur les produits que vous avez promus, ont crevé le plafond. »
Et j'espère bien que cet ingrat et froid d'Argent saura voir que malgré ma branche sommes toutes moins profitable que les économies d'armement, qui actuellement crèvent le plafond en raison des guerres entre divins et des terreurs résultant auprès des humains, je leur donne au delà de ces jeux sanglants le pain tant espéré. Cependant, quelque chose me chiffonne bien vite, et ce quelque chose est la présence certes obligatoire, mais ennuyante tout de même de son manager ... Bob. Qui comme durant nos quelques échanges se montre impoli et me donne l'impression d'un chien pissant sur son territoire.
« Sans doute celui d'obtenir un meilleur contrat que l'actuel, Bob. Bien que face à ce soleil vous soyez bien vite volontaire à devenir son ombre. »
Je reste polie, bien que sardonique, afin de lui rappeler qu'ici, c'est moi la patronne et non sa pompeuse personne. Heureusement qu'il est le manager de ce cher Romain, sinon il serait déjà en train de se faire bouffer les couilles (et bien plus) par mes goules. Et bien entendu, je me serai fait un plaisir d'observer tout cela en buvant un Bloody Mary. J'étire mes lippes en un sourire plus carnassier, de ceux que l'on connaît aux augustes requins du monde du business, bien que ... je l'avoue, le mien doit dénoter de mes envies de viande en regardant la carne de Bob.
« Je comprends que cela puisse apparaître antinomique auprès d'une personne telle que vous, Bob. Mais la mode comme l'esthétique se fiche bien du fait qu'il faille consoler une bestiole grincheuse, pourrie gâtée avec une tronche de chauve-souris. »
Je le cible évidemment, me montrant acide et implacable, mais toujours souriante et transpirant de cette confiance et ce dédain quand je vois d'ores et déjà qu'on marche sur mes plates bandes. Et là, je recule d'un pas, l'inspecte de la tête aux pieds, lentement mais avec assez d'insistance pour qu'il se sente gros, hideux, mal fagoté, suivi de cette nippe de lippe en disant long sur l'importance qu'il représente à mes yeux. J'inspire alors et reporte mon attention vers le solaire brun, donnant ainsi l'impression à Bob qu'il pourrait s'endormir, se curer le nez ou tout simplement s'en aller durant cette conversation, je n'aurai rien remarqué. Je le sens se rebiffer vouloir en placer une, mais je ne lui en laisse pas l'opportunité, vu que je reprends la parole.
« Elle se gage de capter l'attention, de magnifier l'importance de celui la portant. Et rien n'amène plus vite une belle histoire à sa chute qu'une crise d'amibes et la dysenterie qui l'accompagne. »
Nouveau taquet en direction de Bob. Je n'ai pas le temps pour ce genre d'animal insipide. D'autant plus maintenant que toute mon attention est en train de jauger avec un intérêt certain celui qui est réellement capable de me fournir l'argent et l'influence qui font le nerf de mon cachet, de ma guerre.
« Dites-moi Mr Papadopoulos. Trouvez-vous cela dégradant d'offrir à tout un chacun l'envie d'acheter ce que vous offrez, saluez ? D'être la source de ces fantasmes, de ce rapproché certes illusoire sur les papiers glacés des magasines ou les écrans tactiles. Mais, qui à nombre d'entre eux leur donnera le résultat escompté, et la fidélité autant par l'image que vous véhiculez, que moi, dans le fait qu'ils se rueront sur mes gammes. »
Je tiens à avoir son opinion à lui, connaître un peu mieux celui qui miraculeusement, est revenu d'un coma aux origines si brutales. C'est après tout lui que j'ai recruté, que je veux magnifier. Et pas son putain de pitt bull lui servant de manager.
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Romain Papadopoulos
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Sujet: Re: This is how villains are made (PV : Romain) Lun 12 Aoû - 19:41
This is how villains are made
I'm scared to get close, and I hate being alone. I long for that feeling to not feel at all. The higher I get, the lower I'll sink. ≣ Bring me the horizon
Je me veux affable, aussi parfait qu'un client qui me fourni un cachet comme celui que je touche aujourd'hui peut l'attendre. C'est du moins ce que j'imagine qu'elle attend de moi, puisqu'elle vient sans prévenir inspecter le shooting. Je ne me vois de toute façon pas faire la diva, ce n'est pas dans le caractère de Romain, qui est célèbre certes, mais pas assez pour se permettre ce genre d'extravagance. C'est à peine si il oserait réclamer une bouteille d'eau fraiche dans sa loge. Ce garçon est devenu célèbre par hasard, sans vraiment le chercher, et est toujours resté humble. Ce qui me change de beaucoup de mes anciennes incarnations, et dans le fond, m'apprend à moi même l'humilité, bienvenue vu les circonstances actuelles dans le monde. Néanmoins, tout poli que je sois, c'est Bob qui décide de se manifester, et pas sous son meilleur jour. Je sert les dents, ne sachant pas à quoi m'attendre de la part de celle qui m'inspire tout de la Miranda Priestly des temps modernes. Et je ne suis pas déçu dans l'idée que je me suis fait d'elle, loin s'en faut.
Antinomique. Mot de plus de trois syllabes. C'est sûr, on a perdu Bob. Je ne sous entend pas qu'il est bête, je dis simplement que si on faisait un village avec tous les idiots du village, il serait quand même l'idiot du village. Mais au moins, il est compétent pour trouver des contrats. Les conserver, ça c'est plutôt mon job, et heureusement, parce qu'avec son comportement de goujat, je me retrouverai bien vite ruiné si cette responsabilité lui incombait. J'observe en silence madame Laveau l'enchainer encore et encore, réussissant la master class de le faire sentir laid, incompétent et stupide, tout à la fois. Il perd définitivement toute dignité quand elle avorte d'un simple geste sa tentative de répondre. Mon sentiment est mitigé quand à ce que je vois. D'un côté, il me fait un peu de peine. J'ai appris à apprécier - autant qu'il est possible vu le bougre - ce gars, qui n'a pas un mauvais fond, juste une beauferie monumentale et quelques problèmes typiques des boomers en terme du rapport aux femmes. Néanmoins, le voir ainsi remit à sa place à grand coup de girl power droit dans les valseuses, ça a quelque chose de satisfaisant. Je l'ai dit, je suis probablement le dieu masculin le plus féministe grâce à ma misandre de sœur jumelle. Au point même que je me suis parfois incarné en femme, car le talent artistique n'a pas de genre. Et puis, comment ne pas être admiratif devant une charge menait de cette façon ? Pas une hésitation, pas un bafouillement, uniquement des mots justes et des attaques qui portent sans parade possible. À ce niveau là de maîtrise, on appel ça de l'art, et je m'y connais dans ce domaine. Est-ce étonnant que madame Laveau soit ainsi une véritable déesse de la castration des mascus toxiques ? Probablement pas, bien malheureusement. Pour une femme, arriver à ce niveau dans le monde des affaires, c'est un long combat.
Je pourrais regarder ce spectacle des heures, fascinés comme devant un de ces documentaires animaliers où on suit la chasse et la mise à mort d'un pauvre zèbre par une lionne sauvage, que l'on regarde les nuits d'insomnies. Mais le zèbre s'avoue vaincu et bat en retraite, retournant sur son siège en bougonnant probablement une réplique cinglante dont il gardera pour toujours le secret. Quand à la directrice, c'est de nouveau sur moi qu'elle reporte son attention, et si son ton est bien différent, je n'ai définitivement pas envie de connaitre le même sort que ce bon vieux Bob. Il n'y a pas de raison pour que cela arrive, en soit, mais autant ne pas jouer avec le diable (qu'il porte ou nous du Prada).
Dégradant ? Bien au contraire. Vous savez, on croit souvent que la beauté est un ensemble de critères physiques à cocher et qu'avec ça, tout ira bien. Si c'était le cas, je serais le premier des laiderons, et on me l'a souvent fait sentir pendant l'enfance, avec mes traits trop prononcés. Mais la beauté est dans les détails, dans l'harmonie asymétrique d'un visage, dans l'éclat vif d'un œil passionné, dans le sourire confiant de celui qui l'affiche. Vos produit donnent le droit à chacun d'accepter leur propre définition de leur beauté personnelle, de se sentir bien dans leur peau, sans que vous ne vendiez un idéal irréel qui ne ferait que les complexer d'avantage. Au contraire, je suis fier de représenter votre marque madame Laveau, car contrairement à beaucoup dans cet industrie, vous vous intéressez aux vrais gens qui vivent dans le vrai monde. Est-ce que je m'emporte dans un élan lyrique ? Peut-être un peu ... mais la beauté, c'est aussi mon rayon, et je ne peux pas m'empêcher d'avoir un avis dans ce domaine qui est le miens. Combien de fois ai-je accordé la bénédiction de beauté selon les canons de l'époque à un homme, et combien de fois cela a-t-il fini en drame ? Trop pour que je puisse le compter. Mais le plus célèbre est probablement celui qui inspira l'écriture de Dorian Gray. Une beauté conventionnelle est un don tout autant qu'une malédiction, mieux vaut alors savoir trouver le beau dans ce qui est moins évident et plus réel.
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Marie Laveau
Créature vaudou
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Sujet: Re: This is how villains are made (PV : Romain) Dim 22 Sep - 13:03
Time to put my medal on, whose blood to spill ? I don't know, whose side I'm on ? Two armies are coming at me, their flags and weapons look the same. One tells the truth, the other's lying and they're both calling my name. This is how villains are made ... This is how villains are made ... Ooh, ooh ... No one ever starts that way, but this is how villains are madee. -- feat. @Romain Papadopoulos
Il m'est agréable de rester en la compagnie de ce jeune homme. Bien plus que je ne l'aurai cru, au demeurant. Il y a quelque chose de magnétique, de relaxant que je n'arrive pas à définir pendant cet échange. Cela me couperait presque cette faim me tenaillant en chaque instant. Mon dieu, est-il possible de mettre réellement une âme en bouteille et la vendre en milliers de petits flacons ? Cela serait plus hygiénique et utile que ce qu'a fait cette idiote d'influenceuse dont on a voulu me vendre les vertus ... vertus qui retombaient d'ailleurs sur un Only Fans d'ode à ce que l'on appelle par euphémisme "élégance disruptive". Exemple type du genre trouvable sur son profil, ce qu'appellent si joliment les japonais "d'ahegaho". Enfin tout cela pour dire que ce serait toujours mieux que cette eau de bain que des milliers d'idiots se sont empressés de boire pour se rapprocher de cette triste personne. Durant l'explication de ce cher Romain, je continue tout de même de jeter des oeillades à l'agent suite à notre ... friction. Si Bob se croit au dessus de tout un chacun parce qu'il shampouine un des chouchous internationaux de ce siècle, il est bien loin de connaître à quel point ma réputation fait que je peux être en tout points encore plus orgueilleuse et salope qu'un simple suiveur se cachant dans l'ombre de sa star. Moi, je m'en empare et j'en use pour faire briller d'autant plus cette part si ténébreuse du corps humain.
Je souris légèrement à son implication quand à ses traits dits prononcés, gardant encore un temps mon opinion dans ce tiroir empli de rasoirs et poisons de mon cru. Le reste, je ne peux qu'abonder dans son sens et y comprendre pourquoi tant et si bien ses fans sont si attirées dès qu'il ouvre la bouche. Son discours tient la route, au delà du plaisant que l'on trouve dans son timbre. Mes yeux furètent à nouveau sur l'entièreté de sa personne, tandis que je glisse distraitement un index sous ma mâchoire et le long de ma nuque. Il pourrait certainement faire plus, tellement plus ... que n'être qu'une image de marque, ou un chanteur. Mon instinct me le susurre autant que ces quelques voix diffuses, distantes. Et je frémis à ces chuchotements me nappant d'un voile si fin, si délicat, froid mais sensuel. Oui, je me sens grisée.
« Les enfants sont ce qu'ils sont. Ils miment avec facilité les pires travers de leurs géniteurs pour d'ores et déjà dominer le reste de la cour de récréation. Quitte à estimer que des traits dits prononcés sont une tare. »
Je plisse les yeux et étire mes lippes, rieuse, à l'évocation de ces petites choses insignifiantes que pondent les humains pour se multiplier, et croire que ça apportera un sens à leur insipide existence mortelle. Certes ai-je été dans leur giron durant ma première existence, mais durant celle-ci j'ai su m'élever en utilisant autrement le fruit de mes entrailles qu'en leur lavant les fesses et les laissant s'épanouir en ayant juste à me sucer le lait et la moelle. Quand à ses compliments quand à mon empathie, j'opine du chef, jouant les ingénues, alors que nous savons tous deux, sans nul doute que nous sommes dans le jeu de dupes quand il s'agit de l'industrie de la mode, ou la cosmétique. Je tourne la tête alors, vers une jeune femme ayant des airs de modèle, taille longiligne, avec ce même genre de traits prononcés que ceux évoqués par le rayonnant brun.
« Angela ? »
Angela avance vers nous d'un pas félin, l'œil cinglant et le menton haut, avant que celui-ci ne s'abaisse pour venir placer l'oreille non loin de mes lèvres afin que les prochains mots restent entre nous deux.
« Tu me seras agréable d'emmener ce Bob loin de nous deux, s'il te plaît. »
Ma très chère opine alors du chef, et invite l'agent à la suivre pour aller chercher quelque collation pour lui, comme Papadopoulos, même si celui-ci rechigne au départ en disant que les assistants sont là pour ça. La belle use alors de son charme naturel et de sa poigne pour l'enjoindre à s'incliner à cette demande, puissante et dominatrice. Enfin me voilà un peu plus seule avec l'objet de mes intérêts du jour, bien que j'observe les deux parties s'en allant encore un temps, amusée par ce soudain manque d'assurance venant de ce pauvre poulet s'étant cru coq.
« Maintenant que nous sommes seuls, soyons honnête. Généralement, un Bob, Ce n'est pas un has been mais un never was. »
Je reviens à Apollon pointant doigt et index vers sa personne sans pour autant le toucher. Mais je trace, sa mâchoire comme les courbes de son grand pectoral, ses biceps ou abdominaux dans une courbe oscillante et lente.
« Et l'esthétisme, mon chéri, peut avoir l'oeil pour autrui. Sa compassion cependant est à remettre en cause. Toi et moi nous savons que ce n'est pas en faisant des liftings pervers où le chirurgien laisse des vraies fausses rides que l'on peut se rendre à la fois jeune et mature, et le vendre ainsi au quidam commun. Il faut un impact, quelque chose qui trouble, permette de se remettre en question sur le besoin que l'on ne ressentait pas. »
Les doigts dévient et se jettent de côté pour indiquer d'une volée l'écran montrant les premiers rendus photos.
« Mes produits sont certes au plus proche du naturel et font ce travail que certains ne font pas habituellement. Mais quand tu te dois de vendre, tu vends ton image et le mot avec. Tu ne dis pas cinglée, tu dis épatante. Tu ne dis pas ivre morte, tu dis incandescente. Mais ça je ne te l'apprends certainement pas. Tu as de l'expérience dedans, je l'ai déjà ressenti durant notre premier entretien. »
J'arque les sourcils, et croise les bras sous ma poitrine, en affichant cette fois un air ennuyé.
« Cependant, je trouve que tu te brides. Tu fais ce que nous te demandons aujourd'hui, mais n'as-tu jamais eu envie de sortir des sentiers battus ? De ne pas toujours suivre ce qu'une "maman" peut te dire. »
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I Spit on your Grave
"Bold of you to think that I won't eat you alive. Kinda creepy, kinda ugly, alligator but I'm fluffy like a bunny. I see the big picture and no you don't fit, sir. "I haven't done shit, sir!". You think you're too slick, I understand, you talkin' big shit, I'm such a fan, well I got a big dick and dirty mouth. Spit your blood into my cup and then I'll gulp you down. So when you see my face remember to run. And when you hear my name go load up your gun you should be scared of me, son." (skins) endlesslove.
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This is how villains are made (PV : Romain)
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